À 21 ans, François abandonne ses études à la fac de lettres et rentre aux Phares et Balises. D'abord auxiliaire aux Triagoz (face à la baie de Lannion), aux Héaux de Brehat, puis au Grand Lejon en baie de Saint-Brieuc, il est ensuite affecté au phare des Roches-Douvres où il restera 21 ans jusqu'à l'automatisation du feu. Nommé aux Sept îles face à Perros-Guirec où il passe 10 ans, il y achève son métier de gardien de phare en 2008.
Issu d'une famille d'artistes, il s'intéresse à l'art, et son métier lui permet d'assouvir ses passions. Entre vie à terre et vie en mer, François dessine, peint, maquette... avec une maîtrise étonnante. Homme passionné, il s'intéresse d'abord aux bateaux, les curraghs, navires très anciens sur lesquels les moines irlandais vinrent évangéliser le continent puis à l'art de l'icône où il s'est formé au centre des Jésuites Saint-Georges. Cet art rigide et contraignant ne laisse pas de place à la liberté.
Un soir, dans son phare des Roches-Douvres, pendant les longs quarts de nuits, il feuillette quelques pages sur
un peintre célèbre et une question lui vient à l'esprit : comment aurait-il fait pour peindre le phare ici ? Il crée son premier dessin entre deux icônes et il en fera naître plus de soixante autres « à la manière de... » et qui feront l'objet d’un premier ouvrage paru aux éditions Ouest-France et aujourd'hui épuisé Les phares du gardien de phare. Cette fois, animé par sa rencontre avec Philippe Pique, François Jouas-Poutrel s'est intéressé au monumental Mont-Saint-Michel qu'il a imaginé peint à la manière des plus grands maîtres de la peinture.
Issu d'une famille d'artistes, il s'intéresse à l'art, et son métier lui permet d'assouvir ses passions. Entre vie à terre et vie en mer, François dessine, peint, maquette... avec une maîtrise étonnante. Homme passionné, il s'intéresse d'abord aux bateaux, les curraghs, navires très anciens sur lesquels les moines irlandais vinrent évangéliser le continent puis à l'art de l'icône où il s'est formé au centre des Jésuites Saint-Georges. Cet art rigide et contraignant ne laisse pas de place à la liberté.
Un soir, dans son phare des Roches-Douvres, pendant les longs quarts de nuits, il feuillette quelques pages sur
un peintre célèbre et une question lui vient à l'esprit : comment aurait-il fait pour peindre le phare ici ? Il crée son premier dessin entre deux icônes et il en fera naître plus de soixante autres « à la manière de... » et qui feront l'objet d’un premier ouvrage paru aux éditions Ouest-France et aujourd'hui épuisé Les phares du gardien de phare. Cette fois, animé par sa rencontre avec Philippe Pique, François Jouas-Poutrel s'est intéressé au monumental Mont-Saint-Michel qu'il a imaginé peint à la manière des plus grands maîtres de la peinture.