Jean Margueritte revendique volontiers ses attaches normandes et son appartenance au Cotentin qu'il affectionne particulièrement. Mais il n'est rien de ce chauvinisme qu'il affiche plus par espièglerie que par orgueil auprès des horsains. L'étendue de ses connaissances dépasse largement les limites de la presqu'île et son entrée dans le journalisme, après avoir enseigné le français, l'histoire et la géographie, n'est pas un hasard pour cet homme curieux d'apprendre et heureux de partager.